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Partagez des projets Kickstarter, Indiegogo ou autre sociofinancement sur Transformers ou autres qui pourrait intéressé

○ Crowdfunding, Financement participatif, Sociofinancement - Recette miracle pour les indépendants?
Par Blaster le 30 août 2014 http://www.toyzmag.com/2014/08/crowdfunding-recette-miracle-pour-les-independants/

Depuis les succès médiatiques rencontrés par des musiciens financés via MyMajorCompany, le financement participatif a le vent en poupe. A mi-chemin entre l’art et l’industrie, les indépendants du secteur du jouet ont flairé le filon et de nombreuses initiatives ont fleuri  sur les principales plateformes: Kickstarter, Indiegogo…

Crowdfunding ?
En anglais, le crowdfunding désigne le financement participatif. Une levée de fonds opérée pour soutenir un projet communautaire ou local dont les porteurs n’arrivent pas à convaincre les banques de la viabilité économique. Le jouet de collection reposant sur des communautés relativement impliquées autour de grandes licences, plusieurs créateurs ont sauté le pas et demandé aux internautes de pré-financer leurs produits. Le pré-financement s’apparente beaucoup à une souscription. Sur la plateforme Kickstarter par exemple, les fonds promis ne sont prélevés qu’une fois l’objectif annoncé par le créateur atteint. Chaque supporter s’engage à payer une somme (à partir d’un dollar) en échange d’un produit qui n’existe pas encore. Le principe du financement participatif repose donc sur la confiance et la mutualisation du risque au sein d’une communauté (de collectionneurs pour le coup).

Financez les jouets de vos rêves
Régulièrement on vous tiens informés des différentes campagnes lancées par des créateurs indépendants souhaitant faire financer leur propre gamme de jouets. Vous avez pu remarquer que s’y mêlent des projets originaux, des rééditions vintage ou des développement de licences existantes. Tous ces créateurs se sont lancés sur des niches négligées par les grands noms du jouet (voir plus bas).

Spoiler:

La faute aux grands ?
Si l’on regarde le succès considérable de deux projets développés par ou en collaboration avec Boss Fight Studio: les figurines Vitruvian H.A.C.K.S. et Marauder Task Force, on ne peut s’empêcher de s’interroger sur l’influence de l’actuelle stratégie de Hasbro sur le choix des fans. Certes, l’équipe de Boss Fight Studio est bien connue des fans de G.I. Joe et de Star Wars. Elle est présente dans la communauté des fans autour de projets comme les figs exclusives du G.I. Joe Collectors Club et, comme Marauder Inc, expose ses travaux dans les conventions, mais cela ne suffit pas à expliquer que des quasi inconnus lèvent plus de sept fois la somme dont ils avaient besoin au départ. C’est bien parce qu’Hasbro a quasiment abandonné G.I. Joe que Marauder et Boss Fight ont pu proposer la Task Force et cela prouve, malgré le succès grandissant des figs 6″ (Star Wars et Marvel, notamment) qu’il existe encore un public pour les jouets 4″. D’ailleurs même les Four Horsemen qui sont de grands spécialistes du 6″ (MOTUC, DC, Gothiropolis) se sont orientés récemment sur le 4″ (Outer Space Men, Power Lords et bientôt Mythic Legions). De même le succès phénoménal de l’initiative IAmElemental montre bien que l’industrie du jouet peine à proposer des produits adaptés aux petites, c’est-à-dire capable de développer leur imagination sans leur imposer de stéréotype physique ou autre.

D’une manière plus anecdotique, mais tout autant révélatrice, la proposition de jouets modulables en bois Made in USA par Luke’s Toy Factory a rencontré un petit succès grâce justement aux arguments que n’utilisent plus les grands groupes: proximité, emploi local et impact environnemental. Autant de contraintes pour un producteur qui a avant toute chose en tête les exigences de rentabilité de ses actionnaires. On est donc en face d’une forme de crise de l’offre dans le secteur: les ventes s’essoufflent et se concentrent sur quelques licences pour lesquelles les industriels tendent à réduire les coûts de production (nouveaux matériaux, réduction de la complexité des designs, des opérations de peinture…) ou d’emballage. Avec des résultats parfois déplorables du point de vue de la qualité des figurines ou de la distribution. De ce point de vue, les dégâts causés par l’adhésif de faible qualité utilisé par Hasbro pour sceller les premières figurines Star Wars Black Series 10cm sont mémorables. Il existe également des projets qui tablent sur la nostalgie avec figurines rétro-vintage (Legends of Cthulhu par Warpo Toys) ou vintage rééditées (Skeleton Warriors par October Toys). Un choix très fanboy qui apporte peut-être moins du point de vue de l’innovation, mais qui rencontre un public sans l’ombre d’un doute au vu de la mode grandissante des jouets rétro.

Les recettes d’une campagne réussie
Régulièrement on vous tiens informés des différentes campagnes lancées par des créateurs indépendants souhaitant faire financer leur propre gamme de jouets. Toutes n’ont pas réussi, mais la plupart de celles qui ont rencontré le succès partageaient des points communs. Il est ainsi indispensable de proposer un produit original qui réponde à une attente et permette ainsi de s’appuyer sur une communauté de fans. Cela impose certainement de connaître cette cible et, de ce point de vue, la participation aux salons/conventions comme les interactions avec les collectionneurs sont essentielles. Cette immersion auprès des clients potentiels permet à de jeunes entreprises de se faire connaître dans le milieu relativement fermé du jouet de collection. Même des artistes au CV impressionnant doivent en passer par là. Rappelons-nous les initiatives FANtastic des Four Horsemen pour les jouets Seventh Kingdom dans les années 2000 ou plus récemment l’incroyable campagne web de Boss Fight Studio. A contrario, l’exemple de Capo Toys pour ses figurines Street Fighter fait figure de contre-exemple. La présentation des prototypes à la NYTF de février laissait augurer du très bon. Las, les démêlés juridiques entre le sculpteur et ses associés se sont soldés par une transaction tardive et un lancement précipité de la campagne Kickstarter (peu de relations avec les fans ou la presse presse). De plus les produits présentaient des attraits limités: diffusion restreinte à l’Amérique du nord, un seul personnage concerné, de faibles bonifications potentielles pour les souscripteurs et une originalité encore à prouver. On connaît désormais le résultat… Toutefois Capo Toys n’est pas décidé à jeter l’éponge et a relancé une campagne Kickstarter pour une offre considérablement élargie (lire notre article) tant du point de vue de la géographie que des produits. Nous verrons si cela suffit à compenser les autres défauts identifiés plus haut.

Pour en savoir plus sur le Crowdfunding, Financement participatif, Sociofinancement...
Pour en savoir plus sur le Crowdfunding, Financement participatif, Sociofinancement... consultez ces liens:
• Qu’est-ce que le crowdfunding et ses différentes formes? ― par journalducm.com
• Six conseils pour ne pas rater votre campagne de crowdfunding ― par letemps.ch
• 5 raisons de choisir le crowdfunding quand on est artiste, au-delà de l'argent ― Par fr.traxmag.com

Rencontre avec un collectionneur Transfan sur sa passion des Transformers
Article par: francetvinfo.fr

Je suis tombé sur ce vidéo et article d'un collectionneur Transfan sur sa passion des Transformers, du coup je le partage. Il se pourrait même qu'un membre du forum le connaissent hehe.

Corentin Maignien, graphiste-designer, est un fan des Transformers: "Ces robots qui viennent de l'espace sont un peu comme un ordre de chevalerie..."

C'est tellement... peu approfondie et mou dans le montage...

maudit la vache Tarn est immense, sérieusement ça manque de musique non? juste ça, ça aurais été mieux, et je le connais pas ce collectionneur

C'est sur que le montage est pas approfondie mais bon, j'étais curieux de voir si quelqu'un connaissait ce Transfan, tant pis.

Parlons de cette image vu sur le web (TF ou pas)

Rappel a écrit:En surfant sur le web, il nous arrive de tomber sur des images marquantes, intéressantes ou rétro de notre enfance.

Exemple d'images:
• Aviez-vous tel jouets/jeux chez vous gamin ?
• Images qui vous le détours.

Les jouets les plus vendus à Noël depuis 1984 à nos jours!
Article par: tuxboard.com

Chaque année, les concepteurs des jouets pour enfants (et même ado) redoublent d’imagination pour faire le bonheur des tous petits. Ainsi, à Noël, les nouveaux jouets inondent les supermarchés. Dans la foulée, il existe toujours un jouet qui fait l’unanimité. Il s’agit du jouet le plus marquant et le plus vendu de l’année. Ensemble, faisons le voyage à travers le temps pour retrouver les jouets de Noël qui ont marqué l’enfance de chacun. Ce voyage commence en 1984 jusqu’à aujourd’hui (2017), c’est parti ! Voici les jouets les plus vendus chaque année depuis 1984 à nos jours!

1984 : LES TRANSFORMERS
Eh oui, les autobots ont existé depuis des lustres. Il s’agit des petites voitures modulables qui peuvent se transformer en robot. Jouet marquant des années 80, le succès de cette invention a donné naissance au célèbre film d’action « Transformers » réalisé par Michael Bay. Long métrage qui continue encore aujourd’hui à séduire les cinéphiles.

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1985-1986: TEDDY RUXPIN
Teddy Ruxpin était considéré comme l’ancêtre des ours en peluche. En plus d’être mignon, celui-ci disposait d’une cassette attachée à son dos dans laquelle était préenregistrées des histoires. Les lèvres de l’ourson étaient synchronisées avec le son audio, ce qui faisait toute la singularité de cette création. Teddy est aujourd’hui l’une des peluches les plus demandées malgré son ancienneté dans le monde des loulous.

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1986 : LES KROOSH BALL
C’était une balle un peu particulière avec comme embout des milliers de rubans de caoutchouc. Très doux au toucher, ces balles allaient devenir culte pour les petits comme pour les grands. Aujourd’hui, cette création s’est nettement améliorée et on le retrouve sous forme de yo-yo sur le marché.

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1988 : LA NES (NINTENDO ENTERTAINMENT SYSTEM)
Faisant son apparition vers les années 1988, la NES allait révolutionner le monde du jeu vidéo avec ses quelque 7 millions d’exemplaires écoulés dans le monde. Les cartouches NES se vendaient comme des petits-pains, elle écrase tous ses concurrents sur le marché, à savoir les logiciels pour PC. Des cartouches NES naîtront plus tard les consoles Nintedos : Wii et GameCubes.

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1989 : GAME BOY
L’arrivée du Game Boy marquera un nouvel exploit pour Nintendo qui réussira à vendre jusqu’à 118 millions d’unités de sa console portable. Le succès de ce produit est tel qu’il battra tous les records de ventes en matière de console de jeux à l’époque.

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1990 : LES TORTUES NINJA
Qui ne connait pas les Tortues Ninja ? Ils ont fait leur apparition sous la forme de figurine de mutant tortue en 1990. Tout de suite, le concept a séduit le public ; raison pour laquelle, on a réussi à exploser le nombre de ventes jusqu’à 30 millions de jouets. La version cinématographique a quant à elle permis à son initiateur d’engranger jusqu’à 200 millions de dollars.

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1991 : LA SUPER NINTENDO
Avec une puissance accrue de 16bits, soit deux fois par rapport à la console NES standard, Super Nintendo allait connaître à son tour un succès monstre. Il s’agissait de la première console jouable à la maison avec une manette. Nintendo a réussi à commercialiser jusqu’à 49 millions d’exemplaires de ce produit durant sa durée de vie.

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1992 : BARNEY DOLL
La naissance de Barney faisait suite au succès de l’émission TV « Barney & Friends ». Il s’agit de l’émission la plus suivie de l’époque. Ainsi, l’arrivée du jouet Barney sur le marché semblait évidente et son succès en disait long sur cette attente du public.

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1993 : TALKBOY
Le TalkBoy a été rendu célèbre par le film « Maman, j’ai raté l’avion 2 . Le talkboy a pour but d’enregistrer des voix puis de le rejouer à tout moment quand on le souhaite. À son origine, le Talkboy était créé uniquement pour le film en question. Toutefois, le public avait réclamé la fabrication et la commercialisation du produit sur le marché. C’est fut le cas, les ventes de Talkboy étaient si importantes que les fabricants venaient étaient souvent à court de stock.

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1994 : LES POWER RANGERS
La série TV « Power Rangers : Mighty Morphin » avait catapulté les ventes des jouets Power Rangers. Ces petits héros bien colorés ont séduit les enfants de l’époque qui voyaient à travers leurs jouets une source d’inspiration. Notons que la série TV était déjà sur les ondes 1an avant la production des jouets.

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1995: BEANIE BABIES
Les oursons en peluche à collectionner ont aussi connu des moments de succès. C’est fut le cas en 1995 où les ventes de ces petits jouets ont explosés.

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1996: TICKLE ME ELMO
Qui est Tickle Me Elmo ? Il s’agit du personnage de la série TV « Sesame Street » diffusée aux États-Unis depuis les années 1969. À l’époque, on ne pouvait pas imaginer le succès de ce petit bonhomme rouge et pourtant c’est fut le cas.

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1997 : TAMAGOTCHI
Un tamagotchi est un petit animal virtuel que les Japonnais ont créés et mis en vente en 1996. L’objet du jeu : vivre et prendre soin d’un petit animal virtuel quotidiennement : le nourrir, le dresser, etc. faute de quoi, l’animal peut souffrir et en mourir. Le jeu ne connaitra son vrai succès qu’un an après sa parution.

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1998 : FURBY
Après le succès du tamagotchi, des inventeurs beaucoup plus inspirés ont choisi de reprendre le concept du jeu de petit animal virtuel à dompter. Cette fois-ci, il s’agit de Furby. Le petit jouet robotique sous forme de peluche avait lui aussi besoin d’être câliné et demandait beaucoup d’attention de la part de son propriétaire. Même si à l’époque, Furby était le jouet le plus cher sur le marché ($35), son concepteur à réussi à en écouler jusqu’à 40 millions d’exemplaires.

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1999 : POKEMON
Avec sa large palette de produits commercialisés sur le marché : pokemon avait dominé le marché des jouets vers les années 99. Ainsi, lors des périodes de fêtes comme celui de Noël, c’étaient les jouets (cartes Pokemon) qui étaient les plus vendus.

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2000 : RAZOR SCOOTER
l était l’heure pour les enfants de grandir et d’envahir les rues. Aussi, en 2000, le palmarès des jouets les plus vendus revenait au Razor Scooter.

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2001 : POUPÉES BRATZ
Avec son nouveau look beaucoup plus à la mode, Bratz allait détrôner la poupée Barbie sur le marché. Leurs têtes étaient plus grandes, leurs styles plus tendances… le choix des consommateurs ont privilégié cette nouveauté. Au cours des 5 premières années de production, le fabricant de ce jouet a réussi à écouler jusqu’à 125 millions d’exemplaires dans le monde.

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2002 : LES TOUPIES BEYBLADE
Pour les petits garçons, les toupies Beyblade étaient devenues le jouet de Noël par excellence. Impossible d’énumérer son jeu préféré sans la citer. Les toupies avaient même une émission TV qui lui a été consacrée. Un des jouets les plus vendus depuis ces années.

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2003 – 2004 : LES ROBOTS TÉLÉGUIDÉS
Alors que la révolution technologique battait son plein, la sortie des robots téléguidés avait fait un carton. Rien qu’en 2004, on avait réussi à écouler jusqu’à 1,5 million d’exemplaires de ces jouets. Ces robots symbolisaient le succès de la technologie puisqu’il s’agit tout bonnement d’une déclinaison commercialisable de la programmation informatique.

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2005 : X-BOX 360
Pour rivaliser avec la PlayStation 3 de Sony, Microsoft a lancé sur le marché son X-Box 360. Le succès était au rendez-vous puisqu’à sa date de sortie jusqu’à la fin de l’année, l’article s’est vendu jusqu’à plus de 1,5 million d’exemplaires.

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2006 : PLAYSTATION 3
Avec la PS3, Sony arrivait grand favori sur le terrain des ventes des consoles de jeux. 340 000 unités ont été écoulées aux États-Unis une semaine seulement après son lancement. Jusqu’en 2013, Microsoft a réussi à vendre jusqu’à 18 millions de consoles dans le monde.

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2007 : NINTENDO DS
Décidément, les consoles étaient devenues le jouet le plus populaire de l’époque. Digne successeur du Gameboy, la Nintendo DS allait connaître à son tour un franc succès. Son écran tactile était une nouveauté fortement appréciée des gamers, raison pour laquelle, la console portable était vendue jusqu’à 154 millions d’exemplaires dans le monde.

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2008 : NINTENDO WII
Nintendo continue la saga avec la Nintendo Wii, cette console Wii était restée dans l’ombre depuis sa sortie en 2006, mais a fini par réussir sa percée dans le marché des consoles de jeux. 13 millions d’exemplaires ont été écoulés aux États-Unis en 2008.

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2009: ZHU ZHU PETS
On les appelait les « Go Go Hamster », c’étaient des petits animaux de compagnie robotique en peluche qui étaient tout simplement adorables. Leur succès fut une surprise pour la petite firme du Royaume-Uni. Ainsi, avec la croissance de la demande, son prix avait basculé de $9 à $60 en très peu de temps.

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2010 : IPAD
Avec l’iPad, les jeunes avaient trouvé leur nouveau terrain de jeu. Avec son écran tactile et son look avant-gardiste, les inconditionnels de la technologie se sont arrachés pour s’offrir ce nouveau gadget. 300 000 iPad ont été vendus le jour même de sa sortie.

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2011 : LEAPPAD EXPLORER
La société Leapfrog avait trouvé le moyen de mettre à mal la croissance d’iPad avec son nouveau jouet éducatif LeapPad Explorer. On retrouve dans ce nouveau jouet plusieurs jeux éducatifs ludiques qui avaient pour but de stimuler la curiosité et la créativité de l’enfant. Vendus aux environs de $100, les parents voyaient dans ce nouveau concept une nouvelle façon de faire aimer les études à ses enfants.

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2012 : WII U
Nintendo remet la main sur sa console Nintendo Wii pour concevoir la Wii U. Plus facile à utiliser avec son écran tactile, plus léger et plus riche en matière de jeux, la nouvelle console a réussi son pari de défier la PS3 et la X-Box 360. En 2012, 3 millions d’exemplaires de Wii U ont été écoulés.

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2013 : ELMO
Elmo est une peluche de la taille d’un enfant. Véritable compagnon des tous les petits : elle fait des câlins, elle chante, elle danse… à la demande.

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2014 : ELZA
La poupée Elza débarque dans le monde des jouets comme grande favorite grâce notamment au succès de « la Reine des Neiges », le dessin animé dont elle est issue. Avec elle, on avait vu débarquer toute la petite famille des personnages dont : Olaf, Sven, Kristoff… faisait ainsi exploser le nombre de ventes des articles liés à « Frozen ». Libérée…

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2015 : BB -8 « STAR WARS », JOUET DROID
BB-8 est un jouet droïd roulant, conçu par Disney. Avec « La Réveil de la Force », le nombre de vente de l’article est monté en flèche le jour même de son lancement. Il s’agit du jouet qui a le plus stimulé l’industrie du jouet en 2015.

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2016: HATCHIMALS ET LA NES CLASSIC
Hatchimals et la NES Classic ont été la révolution de 2016. Le premier est un œuf interactif qui donnait naissance à un jouet si on en prend soin, tandis que le second était la version modernisée de la Nintendo’s de 1988. On retrouve dans cette console plusieurs jeux cultes dont : Super Mario Bros, la « Legende of Zilda », etc. .La console est encore disponible à un certain prix.

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2017 : FINGERLINGS
À l’approche de Noël, les Fingerlings dont on vous vous en avait parlé, semblent confirmer qu’ils sont les révélations de cette année. Il s’agit des petites poupées robotiques qui s’accrochent aux doigts. La grosse campagne de publicité lancée sur YouTube par son fabricant a porté son fruit, faisant ainsi des Fingerlings, le jouet culte de l’année.

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2017 - Entrevue avec Shôji Kawamori (achitecte de Macross) et Shinji Aramaki (ambassadeur 3DCG): deux stars du mecha-design
Article écrit par: journaldujapon.com, 2

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Le Japan Tours Festival offrait pour sa 3e édition, du 24 au 26 février 2017,  un duo de mecha-designer incroyable. Ils ont animé plusieurs conférences durant ce week-end dont une sur leur carrière de mecha-designer et une autre sur le passage de la 2D à la 3D. C’était une occasion en or d’en apprendre plus sur leur travail. Shôji KAWAMORI et Shinji ARAMAKI nous ont accordé chacun une interview passionnante.


○ Shôji KAWAMORI, architecte de Macross
Shôji KAWAMORI, vous le connaissez sans aucun doute, c’est lui le créateur des fameux Valkyrie, les avions transformables de Macross (première saison de la série animée Robotech). En 1982, à 22 ans, il produit et crée le mecha-design de la première série animée de Macross : The Super Dimension Fortress Macross. À 24 ans il se retrouve aux commandes du film devenu culte : Super Dimension Fortress Macross – Do you remember love? Avant cela il avait déjà travaillé sur divers projets comme Diaclone, qui deviendra Transformers. Avec Studio Nue (studio de design japonais créé en 1972) il aidera sur les designs de la série Ulysse 31 ou encore The Ultraman. Il sera ensuite aux commandes de toutes les suites de Macross (sauf Macross 2 qui « n’existe pas ») : Macross Plus, Macross 7, Macross Zero, Macross Frontier, jusqu’à Macross Delta en 2016. Il est aussi mecha-designer et/ou réalisateur sur des projets comme Vision d’Escaflowne, Arjuna, ou encore Aquarion. Parallèlement il continue d’exercer ses talents de mecha-designer sur des anime dont il n’est pas le créateur : les films Patlabor, Ghost in the Shell, ou plus récemment les séries Eureka Seven. Il officie également en tant que mecha-designer dans le jeu vidéo, notamment sur la série Armored Core.

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Journal du Japon : Vous êtes né en 1960, donc en pleine période de course à l’espace. Cela vous a-t-il un peu inspiré pendant vos études et votre carrière ?
Shôji KAWAMORI : Oui bien entendu, j’ai été très influencé par la NASA, notamment avec le développement de la conquête de l’espace et les missions Apollo.

Que dessiniez-vous étant enfant ?
Quand j’étais enfant je ne dessinais pas du tout. Je faisais plutôt du papercraft. Je m’amusais aussi beaucoup avec les jouets Fischertechnik (un jeu de construction allemand N.D.L.R.). Ce n’est qu’en arrivant au collège que j’ai commencé à dessiner car mes camarades de classe dessinaient.

Vous avez travaillé sur Cyber Formula, avez-vous une voiture de course préférée et pourquoi ?
Oui, dans la série j’aimais particulièrement la super Asurada (la voiture du héros Hayato Kazami N.D.L.R.). Sinon j’ai été très impressionné par la Tyrrell P34, une voiture de course avec six roues (1976). Elle est arrivée la même année que le premier Grand Prix au Japon au pied du mont Fuji : Fuji Speed. J’y suis allé et j’ai beaucoup de souvenirs là-bas.

Vous avez déjà déclaré que vous utilisiez des LEGO pour tester des transformations et les expliquer aux animateurs, mais comment fonctionnez-vous dans votre processus créatif ?
Comme je vous le disais tout à l’heure, je jouais beaucoup avec les jouets Fischertechnik. Déjà à cette époque je commençais à créer mes propres formes. C’est donc arrivé très naturellement par la suite de continuer à créer des véhicules originaux. Je n’ai pas qu’une seule façon de créer. Parfois je vais commencer par utiliser les LEGO et ensuite faire les dessins, ou ce sera l’inverse. Je n’ai pas de chemin de conception unique.

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Est-ce que ça vous plairait de travailler avec la marque LEGO ?
La marque LEGO n’était pas très connue au Japon, j’ai donc participé à une campagne publicitaire avec les modèles de trois boites pour avoir d’autres modèles originaux (le Van-Force d’Exo-Force est l’un de ces modèles N.D.L.R.). Cette campagne publicitaire a été un gros succès, la marque LEGO m’a invité au Danemark pour faire une conférence sur ces robots devant les designers. C’était une expérience enrichissante. Bien entendu si j’avais l’occasion de retravailler avec LEGO je n’hésiterais pas.

Une nouvelle série Macross a été annoncée pour les 35 ans de la saga, pouvez-vous nous dire quelques mots à ce sujet ?
(Rires) Alors, malheureusement, je ne peux rien dire du tout jusqu’au printemps voire l’été prochain. Ce n’est pas simplement un grand projet pour l’anniversaire de la série. Il y aura plusieurs projets à l’intérieur. Vous le verrez bientôt.

Vous développez énormément l’univers de Macross ces dernières années. Avez-vous d’autres projets en cours de développement ne se passant pas dans l’univers de Macross ?
En 2016, lors de l’Anime Expo aux Etats-Unis, nous avons annoncé une collaboration avec la Chine sur un projet commun sur une série télé. Mais c’est tout. L’action se déroulera dans un futur proche de 20 ou 30 ans. Ce sera une série avec de l’action et des mecha, et avec son lot de tragédies pour les êtres humains.

Avez-vous un mecha de la honte, celui que vous regrettez d’avoir dessiné ?
(Rires) Je n’ai jamais regretté l’une de mes créations. Mais j’ai été un peu triste lorsque j’ai créé un modèle de Transformers en avion qui n’a pas été vendu en jouet. C’est un peu dommage pour tout le travail fourni. Pour créer le modèle de jouet c’est plus 20 fois plus dur que pour un modèle sur papier. C’était vraiment dommage.

Et vous ne l’avez pas utilisé pour un autre projet ?
(Rires) Malheureusement non, je ne peux pas le réutiliser dans son intégralité. En revanche je peux conserver des détails de la base. Je vais faire des modifications un peu partout pour réutiliser un projet qui n’est pas arrivé à terme.

Le Gundam qui se trouve à Odaiba va bientôt être démonté. Avez-vous déjà eu envie d’y voir un Valkyrie à la place ?
(Rires) À la Tokyo Sky Tree il y a déjà un cockpit de Valkyrie à l’échelle 1 qui est exposé. C’est un début.


○ Shinji Aramaki, ambassadeur 3DCG
Shinki ARAMAKI est connu en France pour avoir réalisé le film Albator, Corsaire de l’Espace en 2013, qui a réalisé 700 000 entrées, mais aussi Appleseed, sorti lui en 2005, tous les deux en 3D. Il commence sa carrière dans les années 80 en tant que mecha-designer sur des animes comme Mospeada (3e saison de Robotech), ainsi que sur les séries franco-américaines Pole Position et MASK, produites par la DIC et réalisées par Bernard Deyriès. Ensuite, on le retrouve sur des projets devenus cultes pour les premiers fans français : Bubblegum Crisis, et dans une moindre mesure Megazone 23. Tout au long de sa carrière, il continue de contribuer au design de nombreux anime comme Gasaraki, Wolf’s Rain, le premier film Naruto ou Fullmetal Alchemist. Il est aujourd’hui un des principaux acteurs de l’animation 3D en images de synthèse et nous l’avions d’ailleurs interviewé sur ce sujet lors de Japan Expo 2014.

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Journal du Japon : Quand avez-vous commencé à créer vos premiers mecha ?
Shinji ARAMAKI : Quand j’avais 10 ans, le terme mecha-designer n’existait pas, à l’époque je faisais surtout des gribouillis (rires). J’ai commencé à faire mes premières voitures qui se transforment à ce moment là. Je n’ai vraiment réussi à transformer une voiture de façon fluide en robot que quand j’ai commencé ma carrière. Mais au début je me disais « pourquoi ne pas changer un téléphone en autre chose ? » L’idée n’était pas de transformer un objet en robot, mais en autre chose. Quand j’étais petit il n’y avait pas beaucoup de jouets comme aujourd’hui. Un jour avec mon frère on a voulu démonter un moteur de moto pour voir comment ça fonctionnait. À l’intérieur nous avons découvert plein de choses. Pourquoi tel mécanisme fonctionnait ? Qu’y avait-t-il dans cette machine ? C’est pour savoir tout ça qu’on a démonté ce moteur. Ça m’intéressait plus que tout. C’est en jouant que j’ai commencé à travailler.

Vous avez fait des études d’ingénierie ensuite ?
Pas du tout (rires). Comme je vous disais, quand j’étais jeune il n’y avait pas de jouet pour enfant. J’ai commencé à jouer avec des objets du quotidien réel comme les motos. Mon père avait une caméra 8 mm et il développait lui-même ses films et photos. C’étaient mes jouets. J’ai ainsi pu découvrir beaucoup de choses qui m’ont été utile pour ma carrière d’adulte. Souvent on me demande comment j’ai fait pour devenir mecha-designer. Mais pour moi c’était normal de démonter un objet pour voir comment ça marche. Tous les enfants font ça, ils sont curieux de savoir comment ça marche, qu’est-ce qu’il y a dans une voiture ou autre. C’est cette envie qui m’a permis de faire ce que je fais désormais. C’est étrange pour moi de vous raconter ma carrière car ce sont des choses à la portée de tout le monde. Depuis que je suis enfant je dessine, puis c’est devenu mon travail dans lequel j’ai eu du succès, et je gagne ma vie avec ça. C’est super ! Mais en même temps, pour moi c’est bizarre. Je suis désolé d’avoir fait de mes hobbies mon métier.

Il ne faut pas être désolé, c’est génial !
Je ne faisais que ça, je ne sais pas faire autre chose.

Quelles sont les différences entre vos débuts et aujourd’hui pour créer vos mecha (papier, ordinateur, technologie) ?
Le grand pas en avant s’est fait avec l’arrivée de l’ordinateur. Au début l’animation était faite avec du papier et des crayons, et maintenant on peut utiliser l’ordinateur. Une fois mon modèle créé je peux le modifier beaucoup plus facilement, plus besoin de gommer pour recommencer. Avant, pour la conception d’un mecha, il fallait développer un modèle de taille réduite en papier. Ensuite, je pouvais le faire bouger, évoluer, etc. C’est ça que l’ordinateur a beaucoup changé. Ça m’a beaucoup facilité le travail.

C’est un gain de temps, mais aussi pour éviter les problèmes de proportions…
Oui, on n’avait qu’une représentation papier du mecha. Il n’y avait pas d’échelle ou de taille. Ce qui fait que lorsque c’était transposé dans la version animée il y avait des différences de proportions trop énormes entre les humains et les mechas sur certains plans par exemple. Ces incompréhensions sont impossibles maintenant.

Participez-vous aux produits dérivés des séries/films sur lesquels vous travaillez ?
Bien entendu ça m’intéresse de créer des mecha, mais ils ne sont pas encore réels, ce n’est encore que du papier. Donc quand un projet de jouet débute, bien entendu je m’investis dedans, car c’est moi qui l’ai créé à la base. Pour montrer comment il bouge, pour montrer si ça fonctionne mieux ou pas d’une façon ou d’une autre. Cependant, je préfère donner les idées que les ordres pour le réaliser. Ensuite, le producteur vient me voir et nous discutons de ce qui fonctionne ou pas.
Je préfère travailler ainsi.

Souvenirs de catalogue de Noël Sears ou Distribution aux consommateurs au Québec
Article par: journaldemontreal.com

La fermeture d’une chaîne de magasins devient chose courante dans les médias. Quand nous avons su pour Sears Canada, nous avons pas réagi tout de suite. Pis les décorations de Noël et les chansons qui vont avec elles sont apparues. C’est là que Sears nous reviens. Plus à son traditionnel catalogue de Noël en fait. Comme enfant dans les années 80, le temps des Fêtes commençait dès qu’on recevait le catalogue de Noël Sears. Et aussi Distribution aux consommateurs. Ajoutez donc le catalogue Canadian Tire et Radio Shack une fois partis. Feuilleter à en user le bout des doigts les catalogues de Noël Sears ou Distribution aux consommateurs faisait partie de la tradition du temps des Fêtes pour plusieurs enfants dans les années 80, au même titre que préparer le sapin ou installer les guirlandes dans la maison. On passais plus vite sur certaines pages, mais on contemplais tous les passages des jouets. Et aussi les gadgets électroniques, les articles de sports, les jeux de société. Ah ! qu'on en a admiré !

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• des jeux de hockey sur table
• des jeux vidéos Atari et plus tard Nintendo.
• des chaînes stéréo complètes avec une table tournante, AM/FM, double cassette
• et surtout les jouets, tel que Transformers, G.I. Joe, Maître de l'Univers, etc...

Nous tournions chacune des pages avec attention, ne voulant rien manquer. Mais, même avec les meilleures intentions, les pages étaient abîmées par cette consultation frénétique. Voir et revoir des cadeaux potentiels le matin et le soir rendaient nos jours moins longs dans l’attente de Noël. On s’endormais même avec un catalogue dans nos lit bien souvent. Les catalogues Sears, Distribution aux consommateurs, Radio Shack et Canadian Tire à l’approche des Fêtes étaient pour la plupart des enfants pratiquement un livres de chevet. On aimait tourner et retourner chacune des pages nous montrant les articles convoités pour le Grand Soir du 25 décembre. Nous savions bien que nos parents ne pouvaient nous offrir la totalité des objets désirés. On notais donc certains incontournables pour montrer mes priorités à nos parents.

On pourrait même dire qu'on connaissais par cœur ces revues de la consommation hehe. On les avais tant et tant parcourues qu'on savais par exemple le numéro exact de la page du robot Tommy ou des consoles Atari. Nous avions hâte de revenir de l’école pour le lire et le relire encore. Parce que, oui, on le lisais. Comme un roman. Comme un enfant qui peut se retaper des dizaines de fois le Roi Lion.

En voyant le personnage principal du film 1981 de Ricardo Troggi, nous avons eu un clin d'oeil que la majorité des enfants des années 80 avaient cette obsession pour les catalogues.

D’autres fans finis ont même parti une page Facebook consacrée aux catalogues de notre enfance, intitulée Catalogues Québec années 70-80-90.  

Et les vieux catalogues Distribution aux consommateurs peuvent aussi être consultés en ligne.

On a grandi et depuis de nos jours, le feuilletage de catalogue se fait plutôt en ligne on pourrait dire, c'est-à-dire qu'on découvre maintenant nos items préféré à vendre directement sur la boutique en ligne du marchand. Chaque époque à son charme.


Les catalogues de Sears deviennent des objets de collection
Article par: ici.radio-canada.ca

Les anciens catalogues de Noël de l'entreprise Sears connaissent un regain de popularité chez des collectionneurs à l'approche de la fermeture des derniers magasins. Pour des générations d'enfants, l'arrivée du catalogue de Noël Sears faisait rêver. Ils notaient des souhaits de cadeaux, en espérant que leurs parents les remarquent. De nos jours, ces catalogues d'une autre époque sont recherchés par des collectionneurs de jouets, comme Kevin Duffy à Halifax.

« Je trouvais des jouets, mais je ne savais pas quels accessoires et pièces venaient avec ces jouets, explique Kevin Duffy. J'ai donc commencé à vérifier les vieux catalogues, et c'est là que je trouvais les réponses à mes questions. C'est comme ça que j'ai commencé à les collectionner. »

Ces publications servent aussi d'outils de référence à Scott Higgens, un collectionneur d'Upper LaHave en Nouvelle-Écosse. « C'est une archive permanente de ce qui était disponible, et ça, c'est important pour les collectionneurs d'anciens jouets », dit-il. Ces vieux catalogues sont également très populaires auprès de personnes nostalgiques.

« J'aime lire les pages de jouets autant que quand j'étais petit, ajoute Kevin Duffy. Quand j'étais enfant, le catalogue arrivait à la maison l'automne et je passais deux mois à l'utiliser pour dresser une liste de cadeaux que je voulais pour Noël. C'était bien amusant. »

Plusieurs catalogues sont à vendre sur des sites en ligne, comme eBay. Les prix varient de 13 $ à 190 $. Les catalogues des années 50 et 60 valent généralement plus. Pour certains collectionneurs, la nostalgie n'a pas de prix.

Hasbro et des scientifiques créent un chat robotisé à destination des seniors
Article par: kulturegeek.fr, fredzone.org, tendanceouest.com

Arrivés au « 4ème âge » (et parfois même avant), les seniors ressentent très mal le poids de la grande solitude. Des scientifiques tentent d’alléger ce sentiment d’abandon par le biais de robots conçus spécifiquement pour tenir compagnie aux personnes âgées. On se souvient du bébé phoque robotisé PARO, très répandu dans les maisons de retraites japonaises, mais ce dernier est hors de prix (plusieurs milliers d’euros à l’unité) et sa mise en oeuvre s’avère relativement complexe.

La firme Hasbro et des scientifiques de l’Université américaine de Brown ont peut-être trouvé la solution la plus viable économiquement parlant avec le projet ARIES (Affordable Robotic Intelligence for Elderly Support), projet qui consiste à rajouter de l’IA dans les chats mécanisés Joy for All d’Hasbro, afin que ces derniers ressemblent un peu plus à de vrais chats dotés de comportements crédibles; le robot-chat permettrait aussi de pallier l’interdiction des animaux de compagnie à l’intérieur de la plupart des établissements de santé.

A terme, le robot-chat pourra même effectuer des tâches simples (domotiques ?) permettant à son nouveau propriétaire d’être un peu plus autonome. Pour l’instant, notre chat anti-solitude se contente de miauler, de ronronner quand on le caresse, ou de rouler sur le côté, ce qui n’est déjà pas si mal (et garantie sans poils et sans litière !). Le chat-robot n’est pas encore proposé à la vente (quelques prototypes sont en circulation dans des maisons de retraites néanmoins), mais l’objectif final est de fournir un robot avec des fonctions avancées pour un tarif « acceptable » (le jouet d’Hasbro est facturé aux alentours des 100€ Euros | 149,11$ CAD).

Perso je ne le connais pas. En tout cas il a l'ambition de faire un Devastator.

Attention, votre jouet connecté pourrait être piraté, bon à être prudent  
Article par: fr.canoe.ca, lci.fr, youtube de ℕETYSCOM | Business Solutions

Des jouets interactifs connectés à Internet, mais à la sécurité perfectible, peuvent devenir des cibles de pirates pour écouter et même voir ce qui se passe dans votre foyer.

C'est dans l'ordre naturel des choses que celui de concevoir des jouets plus avancés techniquement, voire plus intelligents que ceux de la concurrence. Mais encore faut-il les réaliser à l'épreuve des intrusions, comme tout produit informatique connecté.

Bref, si pour Noël, un cadeau comme un petit robot à l’air inoffensif se transformait en espion au milieu de votre salon ? Vous n’y croyez pas ?  Les jouets connectés pullulent dans les rayons des supermarchés et sur Internet, ire la sonnette d'alarme : certains jouets connectés n'offrent pour ainsi dire aucune protection des données des enfants. La poupée connectée Cayla et le robot connecté i-Que sont ainsi directement visés par l'association de défense des consommateurs. Équipés de microphone et parfois de caméras, ces jouets connectés apportent un haut niveau d'interaction contrairement aux plus anciens qui ne donnaient que des réponses «en boîte» préfabriquées. Avec Internet, un réseau Wi-Fi à domicile ou une connexion Bluetooth, les jouets et jeux peuvent être jumelés à un ordinateur ou un téléphone intelligent.

Si le géant Hasbro se dit conforme avec la loi américaine de confidentialité en ligne des enfants, son jouet connecté Furby Connect permettrait, selon le groupe allemand Stiftung Warentest, à un pirate dans un rayon de 30 m de prendre contrôle du lien sans fil afin d'activer le microphone pour parler à l'enfant.

Par exemple, la poupée My Friend Cayla fait appel à un logiciel de reconnaissance vocale jumelé au traducteur en ligne de Google. Le microphone de celle-ci enregistre la conversation pour la transmettre aux serveurs par Internet - une fonction qui laisse la porte ouverte aux pirates selon les chercheurs en cybersécurité contactés par le NYTimes. Si la poupée Cayla n'est pas jumelée par son propriétaire à un téléphone intelligent ou tablette, n'importe qui peut dans un rayon de 15 m du jouet s'emparer de la connexion Bluetooth pour activer le jouet.

Ceux-ci, et plusieurs autres, ne sont pas des jouets aussi innocents qu'ils en ont l'air.

Comme précautions à prendre: Pour limiter les risques de se faire hacker ses données, il existe quelques précautions à prendre : "Ça fonctionne avec une application donc vous avez des conditions générales et un site derrière où vous pouvez allez regarder les avis, les commentaires d’autres utilisateurs. Au-delà de ça, regardez si effectivement il y a un mot de passe, un bouton pour l’appairage, s’il y a un voyant qui permet de voir que l’objet est connecté et est en ligne".

Voici d'autres vidéo en français sur le sujet.
Appuyez sur Spoiler pour Visionner !

Spoiler:

Ca tombe bien, j'en ai pas.

Par contre là ou ça devient inquiétant, c'est que cela pourrait toucher les voiture. Un peu comme dans le dernier Fast and Furious.

Exactement. De plus en plus de nos trucs à la maison son branché. On n'a qu'à penser à notre Télévision à la maison, les modèles qui nous permet d'aller sur internet (tv intelligente) et comme tu dis les nouvelles Voitures également, ça été démontré qu'un bon hackeur peut en prendre le contrôle en écoutant par exemple nos conversations, y ont pas pensé à mieux nous protéger que ça les compagnies. Espérons que je pourrai un jour équipé ma TV d'un anti-virus par exemple.

À la rencontre des collectionneurs Éric Dlus, Gérard Thuault et Dylan Leplanquais
Article par: lanouvellerepublique.fr et lci.fr

• Éric Dlus

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Ce n’est pas la maison du Père Noël. Mais ça pourrait l’être tant le jouet y est roi. En trente ans, Éric Dlus a rassemblé plus de 5.000 jouets des années 1970-1980 à aujourd’hui. Et encore, ce chiffre est une estimation basse de son incroyable collection. Pour être exhaustif, il faudrait inclure les neuf cents verres à moutarde illustrés des héros de dessins animés, les sept cents distributeurs de “ Pez ” (les célèbres bonbons en forme de briques dont il continue d’acheter un exemplaire par semaine) et les centaines de Playmobil ® et leurs accessoires (1).
Dans sa maison située à quelques kilomètres d’Issoudun, les jouets ne dorment pas dans des cartons. Ils sont présentés par familles, soigneusement disposés sur des mètres linéaires d’étagères, dans une pièce qui leur est consacrée. En collectionneur averti, Éric Dlus a bien entendu gardé les boîtes d’origine, qu’il entrepose dans son grenier. « J’aime manipuler les jouets, les nettoyer, les changer de place régulièrement. Dès que j’ai du temps libre, je suis dans cette pièce pour les regarder et m’en occuper. Je tiens à ce que ma collection vive. » Certains éléments peuplent aussi les pièces à vivre de l’habitation. Passionné par le cinéma fantastique et d’horreur, Éric Dlus possède un grand nombre de poupées à l’effigie de ses personnages favoris. Indiana Jones, Maître Yoda, Mad Max, Terminator, le sanguinaire Freddy, Jason (Vendredi 13), Alien, Dexter, les agents de X Files et bien d’autres cohabitent ainsi dans le salon de la famille.

Son rêve : ouvrir un musée Les premières pièces de sa collection ? Le robot Goldorak, les poupées de Steve Austin (L’Homme qui valait trois milliards), Big Jim et GI Joe. Des pièces authentiques des années 70-80 qu’il n’a pas eu de mal à trouver. « Ce sont mes propres jouets, quand j’étais gamin. Ils sont en parfait état parce que j’étais très méticuleux. Déjà, à l’époque, je gardais tout. Adulte, j’ai commencé à acheter les jouets qui me faisaient rêver quand j’étais petit et que je n’avais pas pu avoir. Au début, c’était une forme de nostalgie de l’enfance, puis, très vite, on devient addict et on cherche toujours la pièce de plus. » Exemple avec sa collection de poupées Big Jim : enfant, il en possédait deux ou trois qui figurent en bonne place sur son étagère, à côté des trois cents autres modèles qu’il s’est procurés au cours des trois dernières décennies. « J’ai les trois quarts des Big Jim qui ont été commercialisés en France. Il ne me manque quasiment rien, à part quelques pièces vraiment rares et dures à trouver. »

Raisonnable, Éric Dlus ne se laisse pas dominer par sa quête de l’introuvable. « Au début, je prenais tout ce que je trouvais. J’ai fait des trouvailles extraordinaires en brocantes et en vide-greniers. Des choses que j’ai achetées pour trois fois rien et qui valent plusieurs centaines d’euros aujourd’hui. Maintenant, je me limite vraiment au vintage et je ne me jette pas sur le premier objet que je n’ai pas. Il faut dire que la moindre série est désormais déclinée en produits dérivés de toutes sortes. Il faut être sélectif. »
Le rêve de cet ancien militaire devenu éducateur serait de créer, un jour, un musée avec ses jouets pour les partager avec le plus grand nombre. En attendant, il continue à enrichir sa collection avec l’aide, chaque année, de son Père Noël favori. Dans ses petits souliers, il n’y a jamais de cravate ni autre objet dont il n’aurait pas l’utilité. A 48 ans, il continue de se faire offrir des jouets. « Ma femme sait qu’il est inutile de m’acheter autre chose pour Noël ! sourit le collectionneur. Un jouet, c’est la valeur sûre ! »
(1) Éric Dlus a prêté une partie de sa collection de Playmobil® à la médiathèque pour l’exposition qui leur est consacrée, jusqu’au 20 janvier.


• A la rencontre de ces collectionneurs d'objets "Stars Wars" de Gérard Thuault et Dylan Leplanquais
Gérard Thuault collectionne des pièces et des figurines retraçant l'univers de la saga "La Guerre des Étoiles". A 44 ans, il cultive cette passion depuis son enfance. Un amour dévorant qui lui aurait coûté plus de 80 000 euros. Dylan Leplanquais, 26 ans, partage cette passion. Il dispose aujourd'hui de 1 300 miniatures.


Ce sujet a été diffusé dans le journal télévisé de 13h du 13/12/2017 présenté par Jean-Pierre Pernaut sur TF1.

Je me permets de rajouter les 2 podcasts sur le sujet, avec Cerberus et Ryuzo m'accompagnant.
https://youtu.be/AG26wEBOILY
https://youtu.be/UZr_FpIrDbw

Bien sur, c'est nickel le sujet.

Salut ! Dites-moi si le sujet convient, mais j'avais eu l'idée de faire une sorte de série de vidéos (ou d'écrits) sur ce qu'on ressent en tant que collectionneur, sur le forum : comment c'est arrivé, vie quotidienne avec ça, comment on le vit et on s'organise.
Mon idée était de faire participer les membres du forum en leur faisant partager leurs ressentis. Je sais pas si j'ai bien expliqué ce que je voulais dire, ni si l'idée a déjà été menée quelque part, et si oui, où est-ce que je peux le trouver ?

ce qui ressemble le plus c'est un peu mes entrevue vidéo mais surtout les entrevue par optiminus que malheureusement il en fait plus... mais c'est une bonne idéee

LeaderOptimus a écrit:Salut ! Dites-moi si le sujet convient, mais j'avais eu l'idée de faire une sorte de série de vidéos (ou d'écrits) sur ce qu'on ressent en tant que collectionneur, sur le forum : comment c'est arrivé, vie quotidienne avec ça, comment on le vit et on s'organise.
Mon idée était de faire participer les membres du forum en leur faisant partager leurs ressentis. Je sais pas si j'ai bien expliqué ce que je voulais dire, ni si l'idée a déjà été menée quelque part, et si oui, où est-ce que je peux le trouver ?

Jetfire a écrit:ce qui ressemble le plus c'est un peu mes entrevue vidéo mais surtout les entrevue par optiminus que malheureusement il en fait plus... mais c'est une bonne idéee

Salut Alex, exactement comme le dit notre ami Jetfire...

Optiminus avait lancer des entrevues/questionnaires avec les membres du forum sur le thème de collectionneur, que tu trouveras les 7 entrevues dans la section Entrevues (+ Podcast).

Par faute de temps, il a arrêter. Tu peux consulter et voir ce que c'est.

Rien ne t'empêche Alex que toi aussi tu en fais. Y a peut-être moyen que tu reprennes la suite du travail d'Optiminus ou vu que c'est totalement autre chose ton projet, tu y va en solo. Tiens nous au courant.

Disponible également mes interviews de collectionneurs ici. Tout thèmes, pour changer un peu des éternels TF.
https://www.youtube.com/playlist?list=PLICeyZYqLlljDBFvRDHL_bEAP56jw4J8e

superhomme a écrit:Optiminus avait lancer des entrevues/questionnaires avec les membres du forum sur le thème de collectionneur, que tu trouveras les 7 entrevues dans la section Entrevues (+ Podcast).

Par faute de temps, il a arrêter. Tu peux consulter et voir ce que c'est.

Rien ne t'empêche Alex que toi aussi tu en fais. Y a peut-être moyen que tu reprennes la suite du travail d'Optiminus ou vu que c'est totalement autre chose ton projet, tu y va en solo. Tiens nous au courant.

Merci, je viens de lire une entrevue et le format est bien ! Mais c'est un peu différent de mon projet. Je vais essayer de le mettre mieux en forme (pour arriver à le faire comprendre ) et de proposer ça quelque part

FurySanctuary a écrit:Disponible également mes interviews de collectionneurs ici. Tout thèmes, pour changer un peu des éternels TF.
https://www.youtube.com/playlist?list=PLICeyZYqLlljDBFvRDHL_bEAP56jw4J8e

Merci, je les avais déjà vues, et c'est bien de se pencher sur d'autres collections (vu que tu es toi-même assez diversifié dans tes collections, c'était ce qu'il fallait faire).

Voilà un truc qui nous as tous au moins touché un moment donné hehe.

Ces trucs pour reposer vos yeux devant un écran quotidiennement
Article par: quebec.huffingtonpost.ca

Picotement, rougeurs et autres désagréments dûs à l'écran?
Il est important de reposer ses yeux au quotidien lorsqu'on passe sa vie devant un écran. Passées quelques heures, vous ressentez picotements ou sécheresse des yeux, maux de tête et autres désagréments? C'est certainement parce que vous n'avez pas mis en pratique ces 5 trucs qui vous permettront de passer à travers la journée devant votre ordinateur. Nous avons interrogé Thierry Cordevant, opticien et directeur marketing chez Essilor Canada.

1 - La position
« Gardez une bonne distance avec votre écran, soit une longueur de bras, et ajustez la luminosité de celui-ci à celle de votre environnement.»

2 - Se balader
« Suivez la règle des 20-20-20, qui se traduit par des pauses régulières toutes les 20 minutes afin de regarder un objet à une distance de 20 pieds pendant 20 secondes.»

3 - Clignez des yeux
« Rappelez-vous de cligner des yeux. « Nos yeux ne clignent que 5 fois à la minute lorsque nous sommes devant l'ordinateur, contrairement à 12 fois la minute en moyenne le reste du temps, ce qui explique que nos yeux peuvent parfois devenir secs. » Pour soulager la sécheresse oculaire, n'hésitez pas à vous renseigner auprès de votre optométriste sur le type de gouttes ophtalmiques qui vous conviennent le mieux.»

4 - Les bons outils
« Pour les personnes passant plusieurs heures par jour devant des écrans, en raison notamment de leur activité professionnelle, il est également possible de reposer ses yeux tout en les protégeant, en choisissant par exemple des verres conçus pour réduire l'effort que doivent fournir vos yeux pour se concentrer sur l'écran. Les verres adaptés aident vos yeux à faire le focus en vision de près, ce qui amène à un meilleur confort visuel. En combinant avec un traitement des verres en surface , vous protégez également vos yeux de la lumière bleue nocive émise par les écrans. Les professionnels de la vue pourront conseiller la solution la mieux adaptée à vos besoins visuels et à votre style de vie. »

5 - Consultez
« Enfin, il est important de prendre rendez-vous avec votre optométriste pour un examen de la vue au moins une fois tous les deux ans, avant qu'un inconfort ou des symptômes douloureux ne se manifestent (fatigue, irritation, changement de vision ou douleur oculaire). Par ailleurs, certains risques silencieux comme la surexposition à la lumière bleue ne présentent pas de symptômes (douleur ou inconfort), mais leurs effets cumulatifs à long terme peuvent aboutir sur des maladies oculaires graves comme la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l'âge). Seul un examen de la vue régulier avec un professionnel de la vue permettra de déceler les premiers symptômes avant qu'il ne soit trop tard. »

La lumière bleue en cause
« Il convient de préciser que plus que l'exposition prolongée aux écrans numériques, c'est la lumière bleue qu'ils produisent qui est responsable de la fatigue oculaire. Les recommandations pour s'en prémunir seront donc d'ordre comportemental en rapport avec la durée d'exposition et d'ordre plus technique avec les solutions de protection pour les personnes qui travaillent devant un écran par exemple. »

Partagez des projets Kickstarter, Indiegogo ou autre sociofinancement sur Transformers ou autres qui pourrait intéressé

• UN ROBOT POUR DIVERTIR VOTRE CHIEN EN VOTRE ABSENCE
Article par: protegez-vous.ca
Page Indiegogo -> https://www.indiegogo.com/projects/laika-an-interactive-companion-for-you-your-dog-dogs-robot#/

Votre toutou s’ennuie quand vous le laissez seul à la maison? Ce robot pourrait le désennuyer.

Conçu par la start-up française CamToy, présente au CES, Laïka est un robot conçu pour permettre d’interagir avec son chien et de surveiller son comportement grâce à une caméra quand on s’absente de la maison. Car on sait qu’un chien qui s’ennuie peut avoir des comportements désagréables ou indésirables : jappements, mordillements de mobilier ou de chaussures, etc.

Le robot peut se déplacer lui-même en mode automatique, pouvant repérer le chien grâce à un collier de localisation, ou être piloté à distance à l’aide d’une application pour téléphone intelligent.

Équipé de haut-parleurs, Laïka permet au propriétaire du chien de lui parler à distance. Le robot intègre aussi un microphone permettant d’entendre le chien et de recevoir une alerte s’il se met à japper.

Le robot permet même au propriétaire de toutou de lui lancer des friandises!

Le Laïka est offert en prévente sur Indiegogo au coût de 300 $US (372 $CAN), avec des livraisons prévues pour juin 2018.  

Attention: la commande de produits sur des sites de sociofinancement comme Indiegogo et Kickstarter comporte certains risques, soyez prudent à l'aide de ces conseils pratique.


Mon OPINION: Ça l'air d'une bonne idée qui semble bien fonctionner, ça l'air tentant d'essayer. Mais, à savoir si ça s'applique à tous les chiens, je peux pas dire, le vidéo le vend bien.

Google Chrome : dès cet été, les sites HTTP seront marqués comme “non-sécurisés”
Article par: cnetfrance.fr, zdnet.fr, frandroid.com, kulturegeek.fr, gridam.com, tomsguide.fr, begeek.fr, 01net.com, presse-citron.net, developpez.com, abondance.com, blog-nouvelles-technologies.fr, generation-nt.com

À partir du mois juillet 2018 et de l'arrivée de Google Chrome 68, tous les sites internet qui n'utilisent pas le protocole HTTPS seront marqués comme "non-sécurisés". De quoi faire peur aux utilisateurs et pousser les éditeurs à s'y mettre.

Voilà qui risque de faire mal à de nombreux sites web ! Dès le mois de juillet prochain, date d'arrivée de la version 68 de Google Chrome, ceux qui n’utilisent pas le protocole "HTTPS" seront marqués comme « non-sécurisé » par le premier navigateur au monde en termes de parts de marché. Une manière radicale de pousser les éditeurs de sites Internet a utiliser ce protocole de transfert hypertexte sécurisé.

Sur son blog, Google explique que, selon ses statistiques, 81 des 100 sites les plus fréquentés utilisent ce protocole. Par ailleurs, et toujours selon Google, plus de 68% du trafic Chrome sur Android et Windows serait désormais « protégé » en HTTPS, un score qui atteindrait même les 78 % sur les systèmes d'exploitation Mac et Chrome OS.

Mais au fait, ça change quoi le HTTPS ?
L'avertissement apparaîtra à gauche de la barre d'URL du navigateur, juste avant l’adresse du site. L’objectif est bien évidemment d’effrayer l’utilisateur et donc de faire baisser l'audience des sites qui n'utilisent toujours pas le protocole. Sur un site HTTP, les échanges entre les internautes et le site se font en clair, alors qu'en HTTPS, le trafic est crypté.


Ainsi, si vous vous connectez à un site HTTP pour simplement consulter des informations, ce n'est pas vraiment un problème. Par contre, si vous devez saisir des mots de passe ou effectuer des transactions bancaires, vous prenez là un véritable risque que les échanges soient interceptés par des pirates.

En réalité, cela fait plusieurs années que Google annonce son intention d'imposer le HTTPS. D'ailleurs, Chrome marque déjà les pages de login ou de transactions bancaires HTTP comme « non-sécurisées », et ce depuis la version 56.

Mon opinion: Passer en HTTPS coûtent de l'argent annuellement quand on le demande à l'hébergeur. Je ne pense pas passer au HTTPS vu l'argent demandé à chaque année.

Kung Fury : une suite avec Michael Fassbender ?
Article par: lepetitcahier.com

La suite du court-métrage Kung Fury, comédie hommage aux films d'arts martiaux des années 80, serait en préparation avec un casting étonnant...

Vous souvenez-vous de Kung Fury ? Mais si, ce court-métrage complètement décalé à l'origine d'un buzz retentissant sur le net en 2015, et d'un passage au Festival De Cannes ! Sachez que cette comédie, qui est un hommage cocasse aux films d'action et d'arts martiaux des années 80, pourrait nous livrer un second volet avec la participation de l'acteur... Michael Fassbender ! Et celui-ci interprèterait l'un des rôles principaux avec David Sandberg, créateur et héros du premier film ! A noter que David Hasselhoff, qui a participé au métrage d'origine, serait lui aussi de retour pour le plus grand plaisir des aficionados de ses frasques cinématographiques...

Pour le moment, cette nouvelle se balade entre la rumeur et la discussion mais l'idée paraît plus que cohérente tant Kung Fury a séduit les internautes et les cinéphiles du monde entier... La réalisation de cette seconde mouture aurait été confiée à l'équipe du film It (Ça) et le tournage devrait débuter cet été avec, pour contexte, la ville de Miami en 1985. Je vous propose de vous rafraîchir un peu la mémoire avec le premier volet disponible depuis le 28 mai 2015 sur youtube en anglais, à voir à votre droite.